En attendant de découvrir le concert sur cette page ou sur notre compte Facebook (https://fr-fr.facebook.com/museebourdelle/) en avant-goût, quelques mots, dont ceux du poète Théodore de Banville et le programme du duo voix et harpe de Lucie Edel et Julien Marcou.
« Par les blanches nuits d'étoiles,
Dans la brise qui murmure,
Je caresse tes longs voiles,
Ta mourante chevelure,
Et tes ailes demi-closes » …
Théodore de Banville, « L’Enamourée »
En contrepoint de l’inspiration symboliste de Bourdelle, la mezzo-soprano Lucie Edel et le harpiste Julien Marcou invitent à une rêverie musicale et nocturne dans l’intimité de l’atelier du sculpteur. Le programme qu’ils ont conçu pour le musée s’accorde à la figure mélodique et plastique de l’arabesque, au rythme ondulatoire des femmes serpentines modelées par le maître... Autant d’appels à céder à « la logique glissante de l’âme ».
Le programme
Lucie EDEL et Julien MARCOU interprètent :
Solo de harpe
« Un Sospiro »
Caprice Poétique de Franz Liszt
6 min. 30
Trois mélodies : quatre mélodies
« L’Enamourée » Reynaldo Hahn /
Poésie de Théodore de Banville
3 min. 21
« La Chevelure » / Trois chansons de Bilitis Claude Debussy /
Poésie de Pierre Louÿs
3min. 08
« Nuit d’étoiles » Claude Debussy /
Poésie de Théodore de Banville
3 min. 27
« Si mes vers avaient des ailes! » Reynaldo Hahn /
Poésie de Victor Hugo
2 min. 23
À 19h, durée : 16 minutes – Gratuit, diffusion sur cette page de notre site et sur Facebook : https://fr-fr.facebook.com/museebourdelle/à partir de 19h le samedi 14 novembre, puis à voir et à revoir.
La musique et le musée viennent à votre écoute . La Nuit Européenne des musées, ce samedi 14 novembre sera numérique ! Vos écrans vous transportent au musée pour un concert inédit !
A cette occasion, le musée vous donne rendez-vous, sur ce site, ou notre compte facebook, le 14 novembre à partir de 19h pour découvrir le duo voix et harpe : Nuit d’ étoiles, arabesques et fumée par Lucie Edel, mezzo-soprano et Julien Marcou, harpiste. Une rêverie musicale et nocturne à partager dans l’intimité de l’atelier du sculpteur.








